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Un phénomène fréquent et banal
Perdre ses cheveux est le cauchemar de beaucoup d’hommes et de femmes. Il s’agit pourtant d’une évolution très banale et fréquente de la vie normale du cheveu. Ce n’est donc pas une maladie à proprement parler. La calvitie touche 15 % des hommes à l’âge de 20 ans et un sujet masculin sur 2 à 50 ans.
La perte des cheveux est un phénomène fréquent et banal
Relancer la repousse ? 
Publiée dans la revue Science Advances, une étude du département de dermatologie de l’université Columbia à New York pourrait redonner espoir aux sujets rencontrant le problème de la chute des cheveux.
Deux médicaments déjà sur le marché pour d’autres pathologies ont été testés par les équipes. Les premiers résultats sont encourageants chez les souris. Les rongeurs ont été traités pendant 5 jours et le développement de nouveaux poils a été constaté.
Le principe ? Réveiller le cycle capillaire des personnes atteintes de calvitie et relancer la repousse des cheveux. Cela va à l’encontre des traitements actuels qui se focalisent sur la préservation des cheveux déjà présents. 
La question qui se pose désormais est celle de l’application à l’humain et des effets secondaires. Le chemin est donc encore long.
Idées reçues et conseils pratiques
En attendant la mise sur le marché de ces traitements pour stimuler la repousse des cheveux, la Société Française de Dermatologie donne des conseils pratiques pour endiguer ce phénomène.
Il ne faut par exemple pas hésiter à se laver les cheveux, le shampooing n’a pas d’impact sur l’évolution de la calvitie. A noter : les shampooings anti-chute n’ont pas d’efficacité scientifiquement prouvée.
La prudence est de mise lors des expositions au soleil. Le cuir chevelu n’est pas protégé et le soleil peut favoriser certains cancers cutanés.

 
 
Pour mettre fin aux idées reçues, le port d’un couvre-chef n’est en aucun cas responsable de la chute des cheveux. De la même façon, se raser la tête pour renforcer la repousse n’est pas efficace tout comme les massages.
 

 
Aviez-vous déjà entendu ces idées reçues ?
 
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La société SCAPRVT a procédé au retrait de la vente de REBLOCHON FERMIER suite à la mise en évidence de la présence de salmonelles. Il s'agit des lots portant les caractéristiques suivantes : marque de salubrité
N° de lot commençant par 021015 L'ensemble des lots est retiré de la commercialisation depuis le 16/10/2015. Certains de ces produits ont cependant été commercialisés avant la mesure de retrait. Il est donc recommandé aux personnes qui détiendraient des produits appartenant aux lots décrits ci-dessus de ne pas les consommer et de les détruire ou de se les faire rembourser. Les toxi-infections alimentaires causées par les salmonelles se traduisent par des troubles gastro-intestinaux souvent accompagnés de fièvre dans les quarante-huit heures qui suivent la consommation des produits contaminés. Ces symptômes peuvent être aggravés chez les jeunes enfants, les sujets immunodéprimés et les personnes âgées. Les personnes qui auraient consommé les reblochons fermiers mentionnés ci-dessus et qui présenteraient ces symptômes, sont invitées à consulter leur médecin traitant en lui signalant cette consommation.

La SCAPRVT se tient à la disposition des consommateurs pour répondre à leurs questions au numéro de téléphone : 04.50.32.05.75.

Consulter l'alerte sur le site du ministère de l'Agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt
Source:Retrait de reblochons fermiers : présence de salmonelles

L’acné, c’est quoi au juste ?
L’acné est une maladie chronique de la peau touchant le visage, le cou, le tronc et la partie supérieure du dos. Elle touche les glandes qui sécrètent le sébum à la racine des poils et génère des points noirs et boutons.
Cette pathologie touche plus de 3 adolescents sur 4. Le plus souvent, l’acné disparaît à la fin de l’adolescence. Pour autant, les adultes ne sont pas épargnés puisque 12 % des femmes et 3 % des hommes entre 25 et 58 ans sont concernés.
La prise en charge : dans quels cas ?
Étant donné que les cicatrices importantes laissées par une acné sévère constituent un grave handicap social et peuvent altérer la qualité de vie, la prise en charge de la maladie au stade précoce est importante.
Les recommandations de traitement de l’acné n’avaient pas été mises à jour depuis 2007. Elles viennent d’être actualisées par la Haute Autorité de Santé.
L’acné ne touche pas que les adolescents
Quelles solutions ?
Pour les cas d’acné légère, un traitement local sous forme de crème ou de gel est conseillé.
Lors d’acné moyenne à sévère, le traitement local peut être associé à un antibiotique.
Enfin, pour l’acné très sévère, s’il existe un risque cicatriciel important, des traitements plus lourds peuvent être prescrits par un médecin : dans la majorité des cas, il s’agit d’isotrétinoîne.
De la patience et un bon suivi du traitement
La Haute Autorité de Santé souligne que ces traitements ne guérissent pas l’acné mais en atténuent les symptômes. Aucune solution n’est efficace immédiatement, le bon suivi du traitement est gage de sa réussite. Or, seulement 32 à 50 % des patients le respectent.
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Alors que les températures chutent, la saison de la grippe débute. Quand faut-il se faire vacciner ? Est-ce utile ? Quels publics sont concernés ?
À chaque année, son vaccin
Si l’espoir d’un vaccin universel est évoqué, le chemin est encore long avant sa mise à disposition auprès du grand public.
Les virus grippaux évoluent sans cesse, c’est pourquoi un nouveau vaccin est proposé chaque année pour la grippe saisonnière. Le début de la campagne de vaccination pour l’hiver 2015/2016 a débuté le 12 octobre dernier.
Hiver 2014/2015 : un lourd bilan
L’hiver 2014-2015 a rappelé la gravité potentielle de la grippe et ses conséquences pour les personnes fragiles. L’épidémie de grippe a été particulièrement sévère, notamment chez les personnes âgées. Il a été observé pendant cette période un excès de mortalité de plus de 18 000 personnes concernant à 91 % des personnes âgées de plus de 65 ans, et plus de 3 000 hospitalisations. Malgré cela, moins d’une personne sur 2 a fait le choix de se faire vacciner.
 
L’hiver dernier, moins d’une personne sur 2 a fait le choix de se faire vacciner.
Zoom sur le vaccin
Selon la Sécurité Sociale, le vaccin reste le meilleur moyen de se protéger soi et son entourage.
Quand se faire vacciner ?
Le début de l’automne est le moment idéal pour se faire vacciner. Il faut compter 15 jours pour que le vaccin soit efficace. Mieux vaut jouer la carte de la prudence en anticipant la circulation active du virus.
Pour quels publics ?
Les personnes à risque peuvent se faire vacciner gratuitement. Sont concernés :

les personnes de 65 ans et plus ;
les personnes atteintes de maladies chroniques ;
les femmes enceintes ;
les personnes obèses avec un indice de masse corporelle (IMC) égal ou supérieur à 40 kg/m2.

 
La vaccination est également recommandée pour le personnel médical ou en relation avec de jeunes enfants. Pour les autres, le vaccin est optionnel. Retrouvez nos conseils pour limiter les risques de contagion.
 
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Stress : le mal du siècle ?
Alors que la France est championne du stress au travail*, les études autour de ce phénomène se multiplient. La dernière en date traite d’un public particulier : les adolescents et les conséquences du stress à long terme.
Des chercheurs de l’Université Penn State ont étudié de jeunes rats soumis à des conditions de stress afin de déterminer les effets de cette anxiété sur leurs comportements à l’âge adulte.
Jeunesse difficile pour les rats…
Les rongeurs ont été soumis à différences situations stressantes : cages trop étroites, isolement, odeur de prédateurs… Un autre groupe de rats a vécu une expérience beaucoup plus agréable avec des conditions de bien-être optimal : nourriture abondante, éclairage rassurant et atmosphère de confort. Arrivés à l’âge adulte, les deux groupes ont été soumis à deux environnements : confort puis hostilité avec des obstacles à dépasser afin de pouvoir retrouver de la nourriture.
Quelles conséquences le stress des adolescents a-t-il à l’âge adulte ?
Capacité d’adaptation à l’âge adulte
Les résultats publiés dans la revue Animal Behavior sont sans appel : les rats ayant vécu une jeunesse difficile ont trouvé 43 % d’aliments en plus que l’autre groupe.
La conclusion des chercheurs est la suivante : chez les rats, le stress subi à l’adolescence prépare aux difficultés de la vie d’adulte. Pour autant, la transposition de ces résultats aux comportements est loin d’être évidente. “Trop de stress à l’adolescence chez l’homme pourrait mener à une stratégie de vie de type vivre vite et mourir jeune” conclut l’étude, la bienveillance reste donc de mise auprès des adolescents.
*Source : Fifth European Working Conditions Survey – 2012
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