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La gestion de la santé est-elle sur le point de vivre une révolution ? Les applications mobiles dédiées à la santé se multiplient, plus de 100 000 sont disponibles à l’heure actuelle.
Selon une étude de l’American Heart Association publiée dans la revue scientifique Circulation, elles ont un vrai potentiel pour adopter une hygiène de vie plus saine.

Simple 7
L’étude s’est concentrée sur l’amélioration de la santé cardio-vasculaire. Les chercheurs ont étudié l’application “Simple 7”, un programme basé sur 4 comportements de santé à améliorer : tabagisme, poids, alimentation et activité physique. Trois indicateurs servent à observer les résultats du programme : le taux de glucose, la pression artérielle et le taux de cholestérol.
L’étude a mis en lumière le fait que les personnes ayant utilisé cette application ont plus de chance d’atteindre leur objectif à court terme que les autres.
Efficaces à court terme
Basées sur l’autosurveillance, les applications santé mobiles destinées au grand public peuvent servir d’outil pour maintenir le changement de comportement. L’efficacité de ces nouvelles méthodes à moyen et long terme reste néanmoins à prouver.
Un cap à franchir
Selon l’Étude Santé 2015 menée par l’IFOP, 87 % des Français sont intéressés par une application de suivi médical. Dans le même temps, seuls 17 % des médecins conseillent ces outils.
Le problème de la confidentialité des données reste majeur : 41 % des sondés disent avoir des craintes sur la collecte et le stockage de ces informations.
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Source:Des applications mobiles pour améliorer la santé ?

Elle est conditionnée en Tetra pack rectangulaire cartonné de 1 litre de couleur jaune Cette mise en garde fait suite au signalement par les autorités australiennes de cas de dysfonctionnements thyroïdiens (dont thyréotoxicose ) liés à la consommation de ce produit, provenant du Japon, qui s'est avéré présenter de très hautes concentrations d'iode. La boisson a été retirée du marché dans différents pays d'Europe où elle était commercialisée (Royaume-Uni, Allemagne, Espagne, Irlande notamment). Selon les informations dont elle dispose à ce jour et les investigations qu'elle a menées, la DGCCRF n'a pas mis en évidence la commercialisation de ce produit en France. Toutefois, il est possible de se procurer le produit sur les sites internet de certains pays européens qui peuvent en assurer la livraison en France. La boisson à base de lait de soja de la marque Bonsoy est enrichi en “Kombu”, une algue très consommée en Asie et pouvant présenter de très fortes teneurs en iode. L'iode est nécessaire au fonctionnement de la thyroïde mais son absorption répétée en dose trop importante peut provoquer des dysfonctionnements thyroïdiens, dont la thyréotoxicose. L'apport nutritionnel conseillé en iode est de 150 microgrammes par jour chez l'adulte et 80 microgrammes chez l'enfant. La consommation journalière d'un quart de litre du lait de soja Bonsoy en cause pourrait conduire à une consommation d'iode quotidienne de plus de 6 200 microgrammes au regard des taux constatés dans ce lait par les autorités australiennes. La thyréotoxicose peut se caractériser par des tremblements associés à des troubles cardiovasculaires, digestifs, neurologiques et psychiatriques, une fièvre élevée et peut conduire, dans les cas les plus graves, au décès. Les centres antipoison et de toxicovigilance français (CAPTV) ont été sensibilisés pour détecter tout cas éventuel d'intoxication thyroïdienne en lien avec la consommation de lait de soja. Si vous ou un de vos proches avez consommé ce produit, contactez immédiatement votre médecin traitant ou pédiatre qui pourra prendre contact avec le Centre antipoison et de toxicovigilance si nécessaire. Cette information concerne uniquement le lait de soja de la marque Bonsoy.
Contacts presse : DGS Laurence Danand - 01 40 56 42 43/52 62
laurence.danand@sante.gouv.fr DGCCRF
Jean-Luc Ambroise - Jean Marc Belfis
a1@dgccrf.finances.gouv.fr AFSSA
Elena Seité - 01 49 77 27 80
e.seite@afssa.fr INVS Laetitia Gouffé-Benadiba 01 41 79 67 08
l.benadiba@invs.sante.fr
Gabrielle Issaverdens 01 41 79 67 79
g.issaverdens@invs.sante.fr
Source:Mise en garde sur la consommation de lait de Soja de la marque Bonsoy (Bonsoy soy milk)

Difficile de résister à une envie irrépressible de grignoter. Plusieurs raisons justifiaient jusqu’à présent ce comportement : stress, gourmandises, besoin de réconfort…
Une équipe de chercheurs de l’université de New Brunswick a peut être trouvé la cause scientifique de ces fringales incontrôlables.

Réponse scientifique
Ces envies de gras seraient dues à une carence de l’hormone intestinale GLP-1. Son rôle est en effet de réguler l’alimentation en envoyant des signaux de satiété au cerveau.
En étudiant des souris génétiquement modifiées, les scientifiques ont constaté qu’elles avaient tendance à manger au-delà de leur besoin calorique et qu’elles se tournent vers des aliments riches en graisses et en sucres.
Éviter le grignotage
Selon l’étude NutriNet Santé, 61 % de la population française grignote. L’apport calorique quotidien est de fait plus élevé chez les grignoteurs : (+ 181 kcal). Ces calories superflues sont responsables de l’obésité. Pour éviter le grignotage, voici quelques conseils pratiques :

Consommer 3 repas structurés par jour. Interdiction de sauter le petit déjeuner ou le dîner !
Prendre son temps pour manger, le signal de satiété n’arrive au cerveau qu’au bout de 20 minutes.
Dormir suffisamment : un manque de sommeil favorise les fringales.

 
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23 000 jeunes de 17 ans interrogés
L’observatoire Français des drogues et des toxicomanies a publié la 8e enquête nationale ESCAPAD qui met en lumière les usages des substances psychoactives à 17 ans. Plus de 23 000 jeunes ont été interrogés de façon anonyme en métropole et dans les DOM dans le cadre de la journée d’appel de la préparation à la défense.
Tabac
La consommation quotidienne de tabac est en légère hausse. Seules l’Alsace et l’Île-de-France se distinguent avec un tabagisme quotidien bien inférieur à la moyenne métropolitaine. Cette tendance est plus marquée à l’ouest et au sud du pays. Les régions Basse Normandie, Bretagne, Pays de la Loire, Poitou-Charentes, Midi-Pyrénées, Languedoc Roussillon et Corse affichent toutes des niveaux supérieurs à la moyenne nationale.

Alcool
Des disparités régionales marquées apparaissent au sujet de l’alcool. L’usage de boissons alcoolisées s’avère en effet très contrasté selon les régions. L’usage régulier d’alcool – plus de 10 fois par mois –  est en hausse par rapport à la dernière enquête datant de 2011. Les alcoolisations ponctuelles importantes répétées – plus de 5 verres au cours d’une même occasion plus de 3 fois au cours du dernier mois – marquent elles un léger recul.
Il est parfois difficile d’évaluer sa consommation d’alcool. C’est pourquoi l’alcoomètre a été mis en place par Alcool Infos Service.

Cannabis
Fait notable de l’étude : l’usage régulier de cannabis est en nette augmentation. Les régions du sud sont plus touchées par ce phénomène.

 
L’entrée dans la consommation étant de plus en plus précoce, les risques de dépendance ultérieure sont accrus. Pour agir de façon anticipée et aider les familles et les jeunes, une ressource est mise à disposition : les Consultations Jeunes Consommateurs.
 
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Les Centres anti poison et de toxicovigilance (CAPTV) signalent régulièrement des cas d'intoxication d'enfants, parfois graves, suite à l'ingestion de produits dangereux malgré un conditionnement équipé d'un bouchon dit « de sécurité ».
Source:Ingestion de produits dangereux par les jeunes enfants <br> Mise en garde et recommandations